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Silence​.​.​.​on tourne! (album)

by ALENKO

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1.
DIMANCHE On se bouscule les yeux dans le vide Il fait la manche bouche cousue Madame promène sa haute couture C’est un beau dimanche fait sur mesure Pars, prends une pause et tout le reste Pars, prends une pause et tout le reste Valse, la foule est dense au premier pas Tourne, oui le temps tourne et tournera Il n’y a plus de bruits, juste la mémoire Quelques gouttes de pluie et tout s’en va Pars, prends une pause et tout le reste Pars, prends une pause et tout le reste… Et voilà, c’est l’tiercé du dimanche, un p’tit tour mon amour Lundi, mardi, jeudi, tout dans le désordre Oh, c’est chiant le dimanche… Pars, prends une pause et tout le reste Pars, prends une pause et tout le reste… Moi, j’veux m’casser ! Pars, prends une pause et tout le reste… Bon, y s’en va à la fin celui-là Pars, prends une pause et tout le reste… Oh làlà, les dimanches, pas comme ça Allez, viens prendre un thé dans le désert C’est ça, c’est ça ! Ou si tu l’aimes moins amer, go pour l’Angleterre Vivement le lundi ! Allez avancent les Touaregs Oh pis mardi aussi… Tranquilles, quiets Mercredi Les pieds dans le sable Tous les jours de la semaine Ça brûle, c’est chaud Tout sauf le dimanche !… C’est tout dans le désordre chéri Pars, prends une pause et tout le reste Pars, prends une pause et tout le reste…
2.
JE SUIS Je suis ton imprévisible, ton irréversible Je suis imperceptible, ta vision des choses De la plus rose à la plus noire Je suis ta face cachée Je suis ton ombre en chaloupée, ton avocat, ton diable Je suis ton imprévisible, ton irréversible imperceptible Ta vision des choses, de la plus rose à la plus noire Je suis mon étoile, mon chemin Je suis mon étoile, mon chemin Je suis la fable, je suis ta fontaine pleine Celle dont tu ne bois plus l’eau Je suis ta vengeance, ta haine, sucre de ton sirop Je ne suis pas l’artificiel, non je ne veux pas ta peau Je suis tout seul avec toi Je suis, je suis, je suis Je suis la fable, ta fontaine pleine, celle dont tu ne bois plus l’eau Ta vengeance, je suis ta haine, sucre de ton sirop Je suis mon étoile, mon chemin Je suis mon étoile, mon chemin Je suis celui ou celle que tu crois Je suis tous ceux que tu croises à chacun de tes pas Je suis le blanc, je suis à part Je suis toute ces voix Je suis celui ou celle que tu crois Je suis tous ceux que tu croises à chacun de tes pas Je suis le blanc, je suis à part Je suis toutes ces voix Je suis mon étoile, mon chemin Je suis mon étoile, mon chemin
3.
J’aime la sieste parce que j’en fais pas J’aime le fric parce que j’en ai pas J’aime pas les factures parce que j’en ai trop J’aime le swingblackbigbangboogie Parce que j’connais pas J’aime les fleurs parce qu’on m’en fait pas J’aime avoir raison surtout quand j’ai tort J’aime pas les clopes parc’que j’en fume trop J’aime pas les filles parce que j’aime Dutronc J’aime le swingblackbigbangboogie J’aime le swingblackbigbangboogie Parce que j’connais pas J’aime les racistes, oh pis non ça j’aime pas Et pis toi j’t’aime bien parce que j’te connais pas Et toi j’t’aime pas tu m’as l’air trop sympa J’aime le swingblackbigbangboogie Parce que j’connais pas J’aime ma femme tant que j’ la vois pas Je n’aime pas ma gueule parce que j’la vois trop J’aime mes potes, mais j’crois que j’en ai pas J’adore les jolis petits poissons avec du citron J’aime le swingblackbigbangboogie J’aime le swingblackbigbangboogie Parce que j’connais pas
4.
POURQUOI TU MENS ? Pourquoi tu mens Est ce que tu crois que moi je m’en fous La guerre des mots, c’est pas beau Si tu veux, faisons l’amour Est ce que tu mens Parce que tu crois que je m’en fous J’te pends à tes mots Je crois que c’est mieux si je pardonne tout C’est malgré toi Un vieux réflexe, comme respirer Tellement naturel D’étaler vite des mots fatals Je suis mal et je fume Je m’emballe et ça fume Pourquoi tu mens Est ce que tu crois que moi je m’en fous La guerre des mots, c’est pas beau Si tu veux, faisons l’amour Et malgré moi Un vieux réflexe, tu me fais fuir Je pardonne tout Toi et tes phrases, tes phases de… Le compte de tes ex Tes mots saignants tout frais du jour Pourquoi tu mens Est ce que tu crois que moi je m’en fous La guerre des mots, c’est pas beau Si tu veux, faisons l’amour Est ce que tu mens Parce que tu crois que je m’en fous J’te pends à tes mots Je crois que c’est mieux si je pardonne tout
5.
UN PEU DECU Je ne suis pas c’que tu crois Je ne suis paranoïaque comme toi Je ne suis pas cible d’amende Je ne te suivrai pas comme un chien Je suis juste un petit peu déçu de toi De toi Je ne suis patriotique de toi Je ne suis pas ce que tu dis Je ne suis pas d’accord avec toi Je te suis, parle-moi de toi Je suis un peu parle-moi de moi Je suis juste un petit peu déçu de toi Juste un petit peu déçu de toi De toi Je ne suis Patagonie, je ne suis pas tout Paris Je ne suis pas qu’imperceptible, je ne suis pas qu’instantané Je ne suis pas qu’un parmi les autres Je ne suis pas qu’incompatible, je ne suis pas qu’incomparable Je suis juste un petit peu déçu De toi Je ne suis pas qu’un concept Je ne suis pas qu’incompréhensible Je ne suis pas qu’inconsistant Je ne suis pas qu’inconscient Je ne suis pas qu’un concubin Même si je suis qu’un con pour toi Je suis juste un petit peu déçu de toi Je suis juste un petit peu déçu de toi De toi Un petit peu déçu de toi, déçu de toi, déçu de toi, de toi…
6.
EN ROSE Tu n’fais pas partie de mes amis et tu es bien seul je vois Je suis un p’tit peu comme toi et comme tout le monde ici Je n’ai pas le cœur aujourd’hui de te dire que j’t’aime pas Je serais même d’humeur à te faire des fleurs, beaucoup de fleurs A t’offrir des pétales de roses Comme quoi la vie est parfois bizarre Et quand j’mets du d’vin dans mon eau Tu m’as l’air bien plus sympathique Comme tout ressemble à mon verre d’eau Je vois tout en rose, en rose, en rose Je vois tout en rose, en rose, en rose Toi c’est bien clair tu sais, t’es le flic qui m’a collé Pour un excès de je ne sais plus, d’alcool ou de vitesse je crois Je ne peux pas t’en vouloir ce n’était qu’un excès de plus De ta part, c’était du zèle, pour ma part ça me donnait des ailes Et je m’envolais, je m’envolais vers celle que j’aime Comme quoi la vie est parfois bizarre Et quand j’mets du vin dans mon eau Tout m’as l’air bien moins tragique Comme tout ressemble à mon verre d’eau Je vois tout en rose, en rose, en rose Je vois tout en rose, en rose, en rose Et puis toi tu crois que j’t’ai pas vu dans ton costard d’garçon d’café Tu fais semblant de m’oublier, j’ai encore soif tu n’m’auras pas T’as pas envie que j’continue à boire comme ça, mais ça m’regarde Alors sers-moi si tu n’veux pas que j’m’énerve comme hier soir Que j’te foute le bazar, Ah tu es bien seul, je vois Allez viens, viens dans mes bras Comme quoi la vie est parfois bizarre Et quand je n’ai plus d’vin dans mon eau Tu m’as l’air bien moins sympathique J’t’ai pas payé pour un verre d’eau J’veux voir tout en rose, en rose, en rose… J’veux voir tout en rose, en rose, en rose…
7.
ET LE MONDE TOURNE… Il a posé ses mains puantes sur ton corps Sur ton âme d’enfant, ton innocence Il a fantasmé s’est oublié dans le plaisir, dans la démence Il a commencé par t’effleurer d’envie Plus de conscience, plus de scrupules Là il s’est abandonné dans ta chair Dans les étreintes d’un mépris sans recul Et le monde tourne, et tu tournes en rond Ravales ta haine et regardes l’immonde Et le monde tourne, lui ne tourne pas rond T’avales ta haine pendant que lui dégaine Son flingue à sperme de chasseur Qui traque pour sa trique d’enfer Au bout duquel aucune fleur Juste un fusil une mise à mort D’un regard frais comme l’aurore Un soleil qui se levait s’est éteint Même tes fantômes geignent au-dehors Alors que lui se fait du bien Et le monde tourne, et tu tournes en rond Ravales ta haine et regardes l’immonde Et le monde tourne, lui ne tourne pas rond T’avales ta haine pendant que lui dégaine Tourne, tourne, tourne… Sa jouissance digère tes rêves Tu regardes l’immonde Tu clames ton innocence Condamné tu purges ta haine regarde Le monde tourne et tu clames Le monde tourne et tu trames Le monde tourne, t’avales ta haine et regardes l’immonde Et le monde tourne, et tu tournes en rond Ravales ta haine et regardes l’immonde Et le monde tourne, lui ne tourne pas rond T’avales ta haine pendant que lui dégaine Et le monde tourne, le monde tourne Et le monde tourne, regarde l’immonde Le monde tourne, le monde tourne…
8.
LE MOT QUE TU PREFERES T’as pris mon cœur, le seul que j’avais Peu de temps après, t’as demandé ma main Alors arrête de me prendre pour un autre Quand tu prends ton pied, je t’offrirais Rio Tu n’es pas très jolie Mais tu es tellement bonne Au scrabble et puis sexy C’est le mot qu’tu préfères Tu le mets souvent Il te va pas très bien Mais tu marques des points Il faisait chaud sous le ciel d’Argentine Deux trois pas de tango, deux trois baisers volés Près de Sofia, dansent les caravanes Au rythme des gitanes, que j’aboie la queue entre les jambes Elles sont très jolies Mais elles ne sont pas bonnes Au scrabble et puis le lit C’est pas l’mot qu’tu préfères Tu ne l’fais pas souvent C’est vrai que j’le fais bien Mais je marque peu de points Lalalala, lalalalalala… Je t’en supplie, ne me prends pas la tête C’est la seule que j’ai et parfois je la perds Tu sais le jour viendra Ou je n’aurais plus rien Là tu prendras la fuite Et moi quelques photos En guise de souvenirs Mais t’es pas très jolie Je te prendrais de dos Lalalala, lalalalala
9.
AVANT DE M’EN ALLER Des armées d’araignées Dans mes espaces vides Des cafards où je n’ose plus aller J’ai posé des lapins hier Ils se courent tous après, c’est vrai J’ai oublié de vous rappeler J’ai perdu la tête Perdu la tête Avant de m’en aller J’ai bu dans la neige à poil Du 40 degrés à 0 degré J’ai mal digéré les poulets qui m’ont ramené J’ai perdu la tête Perdu la tête Avant de m’en aller J’ai salué tous les icebergs Entre mes mains gelées Quelques objets violents non identifiés J’ai vu ces derniers jours Mes rêves limés les barreaux au levant Un enfant me dire ses premiers mots J’ai perdu la tête Perdu la tête Avant de m’en aller Ne m’prends pas la tête Non, ne me prends pas la tête Avant de t’en aller
10.
PERSONNE On défile, on se frôle On se mélange sur les pôles Ça bouscule On passe comme le temps On devient de vieux amants Chassant le crépuscule Offre-moi des anges nus Qui repeignent les arcs en ciels Une lune, j’veux tourner, danser contre elle Personne n’est personne sans personne On s’invite, on s’évite On oublie tout doucement Qu’en devient-il, que devient-elle Nos vies tanguent sur les flots Nos envies sur les radeaux On méduse, on accroche un regard Personne n’est personne sans personne Personne n’est personne sans personne
11.
LES ABUS DESABUSENT Est-ce d’avoir trop dégusté Que t’en as perdu l’appétit Est-ce de lui avoir trop fait l’amour T’en as plus vraiment l’envie Plus que l’ennui Plaquer les rires et t’en oublie même de vivre Les abus désabusent Eh bien tant pis… Est-ce d’avoir tellement rué vers l’or L’argent, pour toi, n’a plus d’odeur Est-ce de t’écouter tout le temps parler que tu ne peux plus rien entendre D’avoir été trop fier, t’as fait perdre l’honneur Plus que l’ennui Mais plus de rires et t’en oublie même de vivre Les abus désabusent, eh bien tant pis… Y’a tes Maldives qui dérivent vers un nord que tu perds, ivre Les abus désabusent, et va la vie… Lalalalalala, lalalalalala,…
12.
NE CHANGE RIEN Si tu crois que je peux t’offrir une île qui n’existe pas Que la vie s’apprend dans la rue et que c’est un boulevard Si tu crois que les souris dansent et qu’elles sont toutes dingues de toi Que les montagnes sont des collines qu’on franchit d’un pas La vie t’emporte, qu’est-ce que tu vois ? Ferme les yeux, regarde un peu et surtout ne change rien Ferme les yeux, regarde un peu et surtout ne change rien Ahahah ahahah ahah rêve encore un peu Ahahah ahahah ahah Si tu crois que l’amour grandit en l’arrosant de quelques larmes Que les guerres sont au rendez-vous, que c’est mieux si t’arrives en retard Si tu crois que des fleurs poussent au bout des fusils, surtout ne change pas Qu’en pleine mer t’as pied et que c’est plus profond quand on se regarde La nuit t’emporte, qu’est-ce que tu vois ? Ferme les yeux, regarde un peu et surtout ne change rien Ferme les yeux, regarde un peu et surtout ne change rien Ahahah ahahah ahah regarde un peu Ahahah ahahah ahah ferme les yeux Ahahah ahahah ahah rêve encore un peu Ahahah ahahah ahah La nuit t’emporte, qu’est-ce que tu vois ? La vie t’emporte, qu’est-ce que tu vois ? Ferme les yeux, regarde un peu et surtout ne change rien Ferme les yeux, regarde un peu et surtout ne change rien Ahahah ahahah ahah ne change rien Ahahah ahahah ahah regarde un peu Ahahah ahahah ahah ferme les yeux Ahahah ahahah ahah rêve encore un peu Ahahah ahahah ahah ferme les yeux Ne change rien…
13.
SUR LES MARCHES DE MARRAKECH Sur les marchés de Marrakech J’ai vu des roses, j’ai vu des chechs Tant de sourires à bout portant M’achevant d’un seul baiser Tout s’offre à moi, c’est la chaleur Je me suis nourri de fables et d’eau fraîche Ah Gnawa, Gnawa, raconte-moi Ah Gnawa, Gnawa, transporte-moi… Sur les marchés de Marrakech J’ai pu goutter à tous les miels À toutes les saveurs de la raison J’étais trop vert, hors saison J’ai échangé un seul regard Contre de l’amour à l’état pur Mes belles visions occidentales Se sont retrouvées au pied du mur Maintenant, j’ai chaud, je veux de l’eau fraîche Ah Gnawa, Gnawa, raconte-moi Ah Gnawa, Gnawa, transporte-moi
14.
LA VIE N’EST PAS SI FACILE C’est vrai que tu roules en Porshe ou en Ferrari En Bentley, en Audi ou en Lamborghini Que ta Roll’s Royce tu la prends que le mardi C’est aujourd’hui il pleut et t’aimes pas la salirq La vie n’est pas facile, pas si facile La vie n’est pas facile, pas si facile Tu as deux, trois résidences par continents Il faut les entretenir toutes en même temps Tu as un foutu personnel impertinent Et en plus de râler il est incompétent La vie n’est pas facile, pas si facile La vie n’est pas facile, pas si facile Hier soir tu t’es encore levé trop tard T’es passé à côté d’un autre milliard Tant pis il faudra te serrer la ceinture Demain pas de nouveaux Picasso sur tes murs La vie n’est pas facile, pas si facile La vie n’est pas facile, pas si facile Alors pour compenser ce gros cafard Tu as commander trois kilos de caviar Quelques truffes pour te farcir l’estomac Quelques amis parce que t’en as plus La vie n’est pas facile, pas si facile La vie n’est pas facile, pas si facile Quand on gagne trop d’argent, on peut perdre son temps
15.
Vu d'en haut 02:57
VU D'EN HAUT Ta silhouette sur le dos des montagnes, aux frontières du ciel Un jour sans fin a mit ton coeur sur pause, puis t'a mis sur veille Est-ce que c'est beau, beau vu d'en haut Est-ce que c'est beau, beau la vie d'en haut Les étoiles filent et défilent en toile de fond, Dans le fond jamais rien ne s'arrête La glace fond, le soleil explose, rien ne s'arrête Est-ce que c'est beau, beau vu d'en haut Est-ce que c'est beau, beau la vie d'en haut Ooouh..... Y' a de l'altitude, de la distance entre nous On est bout à bout Il y a de l'altitude, la différence entre nous On reste seul au bout Ouh ouh ouh... Est-ce que c'est beau, beau vu d'en haut Est-ce que c'est beau, beau la vie d'en haut Ooouh..... Est-ce que c'est beau, beau vu d'en haut Est-ce que c'est beau, beau la vue d'en haut Ooouh..... ©suisa-sacem 2015 musique : Alenko – Christophe Calpini paroles : Alenko

about

Alenko change d’humeur dans ce second album solo.

Son dérisoire « l’insatiable du Swingblackbigbangboogie » annonce les couleurs de « Silence…, on tourne ! », son deuxième opus très corsé !

Un savoureux mélange d’humour décalé, d’amours inachevés, de gravité bien centrée et de dérision détachée sur des mélodies fragiles, sauvages, sensuelles et parfois… brutes de décoffrage.

Alenko pose sa voix sur un éclectisme « tango-disco-punk-soul-rock-world-urbain ».

Dans un monde qui ne tourne plus rond, écouter « Silence…, on tourne !», c’est un peu comme dévorer un loukoum épicé dans un cabaret enfumé de Buenos Aires. C’est bon. Très très bon… ça réveille les sens et peut faire perdre le nord!

credits

released July 3, 2008

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about

Alenko Genève, Switzerland

Auteur compositeur interprète à l'univers singulier, il sort son premier single en 1998.
2005, son premier opus «36», audience internationale, il reçoit l'Award de l'artiste francophone des Freddy Mercury Live Music Awards de Montreux.
2008, « Silence, on tourne… » suivi de nombreuses scènes et festivals (Paléo Festival de Nyon, Montreux jazz Festival,.)
2011, "Les mystères de l’Ouest"
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